©Konstantin Kakanias |
J’étais nue la première fois que j’ai rencontré Konstantin Kakanias. J’étais modèle – mon premier job à Paris --, et il était artiste ; nous sommes devenus amis par la suite. Je ne l’ai pas revu depuis la fin des années 80 car il s’est installé aux USA. Aussi ai-je été surprise et ravie que nos chemins se croisent, fût-ce virtuellement, chez Frédéric Malle, en découvrant ses illustrations pour le livret présentant les parfums pour la maison. Dans L’Art du Parfum, Frédéric Malle lui a demandé d’interpréter chacun de ses parfums à porter. Je n’ai pas encore eu le plaisir de lire le livre, déjà vendu dans les boutiques, mais en attendant, je ne résiste pas à l’envie de vous montrer un exemple du travail de Konstantin (vous pouvez en découvrir un second dans la version anglaise de cette note).
Quelle vie variée et intéressante tu as menée! j'aime beaucoup les dessins et j'ai hâte de lire le livre.
RépondreSupprimerTara, en effet, j'avoue que c'est assez exotique comme premier boulot d'étudiante à Paris... Et bien moins facile qu'on le croirait. On est conscient de muscles et de tendons dont on ne soupçonnait même pas l'existence.
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