Tous mes remerciements à mon confrère blogueur Persolaise, que j’ai pu croiser à Londres, et à Grant Osborne de Basenotes, l’un pour m’avoir interviewée, l’autre pour avoir publié une interview de moi. Pour la lire (et voir ma tête, tant qu'à faire), cliquez ici.
L’un des plaisirs de ce monde parfumé virtuel est de rencontrer dans le monde réel d’autres amoureux des parfums : c’est ainsi que j’ai connu plusieurs amis à Paris, et presque tous mes amis de Londres, et dans les deux capitales, j’ai eu la chance d’attraper au vol blogueurs et lecteurs venant de l’étranger. Je n’ai jamais été déçue par ces rencontres, et Persolaise, qui est charmant, réfléchi et bel homme, n’a pas fait exception à la règle…
Je retournerai à Londres du 14 au 17 décembre pour un cours au London College of Fashion ouvert au grand public. Il reste encore quelques places et plus tôt je connaîtrai le nombre de participants ainsi que leur profil, mieux je serai à même d’adapter le corpus à leur niveau et à leurs intérêts. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à mon contacter.
Je suis souvent sollicitée par mon lectorat français au sujet de cours semblables dispensés à Paris – on n’a pas tous les moyens d’aller à Londres ou de suivre des cours en anglais.
Mon livre me prend un temps fou pour l’instant, mais dès que je sortirai du rush de la rédaction, en début d’année prochaine, je réfléchirai à ce que je pourrais proposer en ce sens-là. Il est vrai qu’entre les ateliers de Cinquième Sens et ceux qu’on donne chez Thierry Mugler ou chez L’Artisan Parfumeur, entre autres, il existe une offre beaucoup plus développée à Paris qu’à Londres, et qu’ici je n’ai pas la structure d’une université pour assurer la logistique et la caution académique… Mais je trouverai la formule ! Si vous avez des suggestions concrètes, n’hésitez pas non plus.
Chère Denyse, je vous ai déjà dit ce que je pensais de tout cela, que du bien, et n'étant pas ni du métier ni du milieu, je n'ai pas grand-chose de concret à proposer quant aux formations de ce type. Je rêve d'aller à Londres mais les dates sont difficilement compatibles avec mes contraintes professionnelles...Mais l'occasion ici m'est à nouveau donnée de vous remercier de nourrir de manière si talentueuse et littéraire mon modeste intérêt pour le parfum, qui s'exprimera cet après-midi même puisque ce dernier sera consacré à la recherche d'une nouvelle merveille....par un petit saut à Cannes où une parfumerie vend Amouage, Penhaligon's, L'Artisan etc...je suis toujours à la recherche - obsessionnelle - du Sillage...ce qui constitue - si on en croit l'article ci-dessus - un acte de résistance ;)
RépondreSupprimerNarriman, j'espère qu'à l'heure qu'il est, vous avez fait bonne chasse! Le sillage sera bientôt en effet un acte de résistance, en tous cas dans les pays du nord... On n'en est pas là en France si j'en crois mon nez!
RépondreSupprimerBien que vous ne soyez pas très pro-niche italienne, je dois avouer que je suis toujours séduite par Teint de Neige, ce doit être l'héliotrope et un sillage exceptionnel pour une eau de toilette, même si je veux bien croire qu'il n'est pas très sophistiqué (il doit l'être suffisamment pour moi, et mon pauvre nez). Là, j'ai craqué pour l'huile de parfum, hommage de Villoresi aux attars...et pourtant j'ai essayé ou réessayé les Amouage, Malle, Francis Kurkdjian (belle qualité je trouve même si ce n'est pas moi) , l'Artisan (notamment Nuit de Tubéreuse, mais non, rien à faire, même cette tubéreuse là n'aime pas ma peau), Piguet (rien à dire sur Fracas, sauf que là aussi, point de tubéreuse pour moi) ....et même découvert un "Eclats de Jasmin" chez Armani (ligne privée ou quelque chose dans le genre), marque que je déteste, mais il n'est pas inintéressant (même s'il n'égale pas à mes yeux Jasmin de Nuit de CE). Voilà le résultat de ma petite escapade. Y'a pire comme samedi après-midi...
RépondreSupprimerFélicitations pour l'interview, c'était intéressant et bien présenté, mais cette photo de toi ne t'a pas mise en valeur, il faudrait que tu te fasses faire une bonne photo de presse. :-)
RépondreSupprimerTara, laquelle, celle du cours? Pourtant elle me ressemble... Quant aux photos pour la presse, dis-le à mon éditeur, ce n'est pas à moi de payer pour me faire tirer le portrait! ;-)
RépondreSupprimerNarriman, pardon, j'ai oublié de vous répondre dans le feu de l'action... Bon, alors la tubéreuse, on oublie, et si Jasmin de Nuit est votre jasmin, pourquoi en chercher un autre?
RépondreSupprimerVilloresi est l'un des rares qui aient un vrai propos me semble-t-il dans les niches italiennes, et je sais que Teint de Neige a énormément d'adeptes.
C'était la première photo, en haut de l'interview. Celle en cours était meilleure!
RépondreSupprimerBen écoute, moi je l'aime bien...
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