On le porte pour séduire ou pour se faire plaisir, marquer son territoire ou s’entourer d’une bulle protectrice, s’entendre dire « ça sent toi » par son amoureux ou son enfant… Logo olfactif qui trahit notre passage et rappelle notre présence, le parfum est une parure paradoxale. La plus intime, puisqu’il nous pénètre à chaque fois qu’on respire. Mais aussi la plus publique, puisque notre entourage ne peut s’empêcher de le sentir aussi (sauf à opter pour l’apnée). Bref, on se parfume pour les autres, tout autant que pour soi.
Dans le Elle en
kiosque depuis hier, vous pourrez lire mon article intitulé « L’Empire des
essences » en page 154. J’y interroge notamment Dominique Ropion sur le
secret des sillages puissants – propos illustrés à mon insu par un encart « La
Vie est Belle »… Les propos du parfumeur à ce sujet me semblent assez
inédits : pour lui, « ce qu’on appelle puissance, c’est l’identité ».
Mais pour savoir le reste, il faudra acheter le magazine !
Super, je pars de suite à mon kiosque de presse internationale pour le chercher!
RépondreSupprimerIl vient tout juste de sortir, je ne sais pas s'il sera encore arrivé aux US...
SupprimerEt non, ils étaient toujours sur le mois de septembre. :-). Il va falloir patienter (longtemps)...
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